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Jaroslav HAŠEK, romancier et humoriste tchèque
Né en 1883 à Prague, il meurt en 1923 à Lipnice. Il est fils d'un professeur de mathématiques, précocement emporté par ses excès d'alcool. Ce défaut héréditaire est peut-être à l'origine de l'instabilité de sa vie professionnelle (il sera préparateur en pharmacie, employé de banque, journaliste, spécialiste du vol et du trafic de chiens...), familiale, politique (il se prétend anarchiste), et de ses pulsions suicidaires. En 1915, il est mobilisé, puis fait prisonnier par les Russes. En 1917, il rejoint les bolchéviques ainsi que la Légion tchèque. En 1920, il est de retour à Prague, avec des idéaux communistes et nationalistes, et une nouvelle femme qu'il ramène parmi ses bagages. Il entame l'écriture des aventures du brave soldat Chveik que son alcoolisme aggravé ne lui permettra pas de terminer.
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le Brave soldat Chveik, 300 p. Nouvelles aventures du brave soldat Chveik, 297 p.
Sven HEDIN, un des plus grands explorateur du monde
("Voyages en Asie centrale et au Tibet", 1893-1902)
Né en 1865 à Stockholm, il y meurt en 1952. Ayant fréquenté les universités de Stockholm et d'Uppsala, et celles de Berlin et de Halle-Wittenberg, il impressionnait "par sa véritable stature d'explorateur-physicien robuste, cordial, d'humeur égale, calme et persévérant [par] ses dons linguistiques, ses connaissances scientifiques, obtenues aux meilleurs maîtres en Europe, et ses talents artistiques..." (Francis Younghusband). Pendant quarante années il couvrit l'Asie centrale et le Tibet d'explorations audacieuses et souvent dangereuses. En 1886, il fait un premier voyage en Perse et en Asie centrale russe. Puis il complète sa formation en géologie, zoologie, géographie physique. En 1890-1891, il est dans le Pamir. De 1893 à 1902, il réalise trois expéditions dans le Taklamakan. En 1906-1908, il explore le Tibet occidental et revient en Europe où il est comblé d'honneurs. De 1926 à 1935, il est chargé d'études de faisabilité pour un trafic aérien Berlin-Pékin et pour l'ouverture d'une route vers l'ouest pour la Chine. Ses relations avec l'Allemagne ternissent son prestige, mais lui permettent pendant la Seconde Guerre mondiale de sauver de la mort de nombreux résistants norvégiens déportés.
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l'Asie centrale : dans les sables de l'Asie (1903), 395 p.
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l'Asie centrale : vers la ville interdite (1903), 403 p.
HÉRODOTE, à la fois père de l'Histoire et père de la Géographie
Né vers -484 à Halicarnasse, il meurt à Thourioi (sud de l'Italie) vers -420. Il fit de grands voyages tant en Asie (jusqu'au delà de Suze), qu'en Égypte (où il remonte le Nil), et qu'en Europe (où il visite aussi bien la Crimée que la Grande Grèce). "Histoires" (plus tard partagées en neuf livres) est la seule de ses œuvres qui nous soit parvenue. Les guerres Médiques en sont le sujet principal : accroissement de la force perse (livres 1 à 4), première guerre Médique (livres 5 et 6), seconde guerre Médique (livres 7 à 9). Dans ce cadre, il accumule une masse d'informations sur les mœurs, les croyances, les institutions, la vie quotidienne, la géographie, les monuments, les anecdotes et légendes... des pays qu'il a visités, y joignant des témoignages recueillis. Autant d'éléments qui font de lui "le père de l'histoire" (selon Cicéron), mais aussi un des pères de la géographie. Pour accéder au monde décrit par Hérodote, lire le très plaisant En cheminant avec Hérodote, écrit en 1981 par Jacques Lacarrière.
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Histoires, 589 p.
Ernest Théodore Guillaume HOFFMANN, un joyeux romantique
Né en 1776 à Königsberg, il meurt à Berlin en 1822. Doué pour l'écriture, le dessin, la peinture, la musique (il est pianiste prodige), il devient fonctionnaire dans la magistrature prussienne. Se déplaçant souvent d'une ville à une autre, d'une grande sociabilité, doté d'une vive imagination, il occupe ses loisirs à une activité musicale et littéraire intense. Dans ses œuvres les figures les plus fantastiques s'insinuent sans cesse dans la vie réelle. Il exercera une grande influence sur de nombreux musiciens et écrivains. Les contes qui suivent sont tirés principalement des Fantaisies à la manière de Callot (1813-1815), des Contes nocturnes (1816-1817), et des Soirées des Frères Sérapion (1819-1821).
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les Elixirs du diable (1816), 374 p. Princesse Brambilla (1820), 168 p. le Chat Murr (1819-1821), 413 p.
HOMÈRE, le père de la littérature grecque
Huit villes se disputent l'honneur d'avoir donné le jour à ce poète mythique à qui on attribue l'Iliade et l'Odyssée, premiers monuments de la littérature grecque. Il serait mort dans l'île d'Ios où il récitait ses poèmes devant des auditeurs venus de toute la Grèce. Son nom signifie "l'aveugle" et il aurait pu vivre au IXe siècle (av. JC), mais certains mettent en doute son existence : "ses" œuvres étant celles d'auteurs multiples et inconnus. Au VIe siècle (av. JC), le texte des deux épopées, jusque là transmises oralement, est mis par écrit. Au IIe siècle (av. JC), des savants alexandrins partagent chacune d'elles en 24 "chants".
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l'Iliade, 565 p.
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l'Odyssée, 453 p.
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les Hymnes homériques, 89 p.
Evariste HUC, Chinois en Chine, Tibétain au Tibet
("Voyages en Asie centrale et au Tibet", 1844-1846)
Né à Caylus (Tarn-et-Garonne) en 1813, il meurt à Paris en 1860. Religieux lazariste, il est envoyé en 1840 comme missionnaire en Chine dont il va vite parler couramment la langue. Il est chargé avec le père Joseph Gabet d'un voyage d'exploration pour étudier les habitudes des peuples mongols et tibétains en vue de leur évangélisation. De Pékin, traversant les Ordos, il gagne Xining et pénètre dans le Qinghai. Passant par le Koukou Nor, le Tsaïdam, les monts Bayankara, il arrive à Lhassa le 20 janvier 1846 après dix-huit mois de voyage. Il est bien accueilli par les Tibétains, mais en février le résident chinois le fait expulser sous bonne escorte vers Canton où il arrive fin septembre 1846. Les récits très vivants qu'il fait de son voyage et qui seront publiés en 1850 connaîtront un grand succès.
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Voyage en Tartarie, au Thibet et en Chine (1850), 278 p.
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l'Empire chinois (1854), 500 p. ("Voyages en Asie centrale et au Tibet", 1844-1846)
Victor HUGO, le monument littéraire du XIXe siècle
Né en en 1802 à Besançon et mort en 1885 à Paris, Victor Hugo a été avec ses romans, ses poèmes, ses œuvres théâtrales, le plus célèbre écrivain français du XIXe siècle. Jeune et ambitieux, il s'affirme après 1830 comme le chef du mouvement romantique et renouvelle la poésie et le théâtre. Il rêve d'être pour son siècle un "écho sonore" des préoccupations morales et politiques aussi bien que littéraires. Il finit par se convaincre d'être investi d'une mission humanitaire (et quasi religieuse), le poète étant un guide qui peut mener l'homme à la vérité.
Victor Hugo a parcouru presque tout l'éventail politique de son temps : monarchiste légitimiste sous Louis XVIII, orléaniste sous Louis-Philippe, républicain après 1848-1851. Cette dernière date est un tournant : violemment opposé au coup d'état de Louis-Napoléon Bonaparte, il part en exil pour vingt longues années. Il sera dès avant sa mort la référence littéraire officielle de la IIIe République et de ses programmes scolaires, avant d'être remplacé par Emile Zola.
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Burg Jargal (1818), 236 p. Han d'Islande (1823), 256 p. le Dernier jour d'un condamné (1829), 159 p. Notre-Dame de Paris (1831), 688 p. Claude Gueux (1834), 37 p. les Misérables (1862), tome 1, 743 p. tome 2, 669 p. tome 3, 670 p. tome 4, 691 p. tome 5, 575 p. les Travailleurs de la mer (1866), 722 p. l'Homme qui rit (1869), 379 p. Quatre-vingt-treize (1874), 559 p.
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Odes et Ballades (1826), 307 p. les Orientales (1829), 230 p. les Feuilles d'automne (1831), 75 p. les Chants du crépuscule (1835), 330 p. les Voix intérieures (1837), 316 p. les Rayons et les Ombres (1840), 85 p. les Châtiments (1853), 302 p. les Contemplations (1856), 495 p. la Légende des siècles (1859/1877/1883), tome 1, 659 p. tome 2, 587 p. les Chansons des rues et des bois (1865), 153 p. l'Année terrible (1872), 144 p. l'Art d'être grand-père (1877), 286 p. l'Ane (1880), 61 p. la Fin de Satan (1886), 136 p.
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Cromwell (1827), 487 p. Hernani (1830), 193 p. Marion de Lorme (1831), 222 p. le Roi s'amuse (1832), 245 p. Lucrèce Borgia (1833), 138 p. Marie Tudor (1833), 100 p. Angelo (1835), 91 p. Ruy Blas (1838), 230 p. les Jumeaux 1839), 124 p. les Burgraves (1843), 183 p. Torquemada (1882), 162 p. Théâtre en liberté (1886), 591 p.
Alexandre (baron ) de HUMBOLDT, savant et voyageur
Né à Berlin en 1768, il y meurt en 1859. Il reçoit une éducation qui fera de lui un polyglotte (latin, grec, allemand, français, suédois...) et le détenteur d'un savoir encyclopédique, plus spécialement tourné vers toutes les sciences. En 1790, de passage à Paris il s'enthousiasme pour les idéaux de la France révolutionnaire. En 1798, de retour à Paris, il s'y installe et projette une expédition d'exploration scientifique. Elle se fera en 1799 et il y engloutira le tiers de sa fortune. Il part de la Corogne pour l'Amérique : Canaries, recherches sur le canal de Casiquiare dans le Haut Orénoque, Cuba, les Andes et l'ascension du Chimborazo (qui passe alors pour le sommet le plus haut du monde), Pérou, Mexique, Cuba, passage par Philadelphie... le tout accompagné de relevés, expériences, prélèvements systématiques. En 1804, il est à Bordeaux, puis à Paris où il séjourne jusqu'en 1827, et où il reviendra par la suite longuement. Malgré ses idées libérales (mais non égalitaires) et son attachement à la France, il est fêté quand il revient à Berlin. En 1829, il part en Russie, dans l'Oural, et jusque dans l'Altaï. 19 000 km et de nombreuses expériences plus tard, il est en Allemagne où sa popularité lui vaudra plus tard des obsèques nationales, et souvent en France.
Ses nombreux ouvrages ont été rédigés en français ou en allemand. Il est à l'origine de nombreux progrès scientifiques, et de la géographie moderne, en particulier régionale (cf. ses "Essais politiques sur...").
Aldous HUXLEY, un anti-utopiste caustique
Né dans le Surrey en 1894, il meurt à Hollywood en 1963 . Dans ses romans et ses essais, il présente une satire des milieux intellectuels et scientifiques qu’il connaît bien pour venir d’une famille d’illustres théoriciens de l’évolutionnisme, dérives incluses. Il s’y amuse de l’anarchie morale de son temps, et y dénonce la recherche du bonheur superficiel, l’ignorance et la médiocrité qui se dissimulent sous la prétention.
Huxley est surtout connu pour son roman le Meilleur des Mondes (1932), anticipation d’une humanité qui aurait sacrifié à la soumission totale, psychologique et physique de l’individu, grâce à la reproduction génétique planifiée, à la systématisation de l’usage de drogues... Une attaque en règle, en son temps, contre les projets de sociétés totalitaires fascistes et marxistes. Une mise en garde qui semble de nouveau d’actualité avec la remontée des pratiques eugénistes.
(les œuvres ci-dessous ne sont pas encore dans le domaine public en France, leur téléchargement y est donc interdit)
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le Meilleur des Mondes (1932), 298 p.
Abu Abdullah Muhammad... IBN BATTUTA, un voyageur impénitent
Né à Tanger en 1304, il meurt en 1377 à Fès. De 1325 à 1354 il voyage en Afrique du Nord, Egypte, Arabie, Asie mineure, Moyen-Orient, Russie, Asie centrale, Perse, Inde, Ceylan, Sumatra, Chine, Sahara, Mali, Espagne... (cf. la vivante synthèse qu'en donne Wikipédia) faisant rédiger par son secrétaire son journal (Rihla) où il décrit les régions qu'il traverse et les mœurs de leurs habitants. Il bénéficie de la propagation de l'islam et de la langue arabe, ainsi que du développement du commerce, se joignant souvent à des caravanes ou embarquant sur des navires marchands musulmans. Il échappe à de nombreux dangers : il fait naufrage, est dépouillé par des brigands, est amené à faire plusieurs mariages successifs ou simultanés... Ses "relations" sont d'importantes sources de renseignements géographiques et historiques.
Henri IBSEN, écrivain scandinave et norvégien
Né à Skien en 1828, il meurt en 1906 à Christiana / Oslo. L'intercommunication entre le suédois, le norvégien et le danois, voire l'islandais, et le fait que la Norvège est alors intégrée à la Suède, font d'Ibsen un grand écrivain de toute la Scandinavie dont il a toujours proclamé l'unité. En 1863, alors qu'il connaît ses premiers succès littéraires, la Prusse écrase le Danemark, ce dernier ayant été lâché par la Suède. Révolté, il part en exil, il n'en reviendra qu'en 1891. L'essentiel de son œuvre est consacré à un théâtre d'idées et d'action. Il écrit des pièces attaquant le conformisme et les traditions, son intransigeance évoluant par la suite vers la pitié et sa morale vers le mysticisme.
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Peer Gynt (1867), 258 p. la Comédie de l'amour (1862), 171 p. les Revenants (1882), 120 p. la Maison de poupée (1879), 130 p.
Alfred JARRY et la science des solutions imaginaires
Né à Laval en 1873, il meurt en 1907 à Paris. Elève surdoué, il éprouve le besoin de se distinguer par l'utilisation d'objets insolites et le port de tenues extravagantes. Dès 1888, il crée par le moyen de comédies de marionnettes le père Ubu, personnage récurrent de son œuvre théâtrale. Celle-ci se caractérise par la schématisation des caractères, des actions, du décor et par le refus du réalisme et de la psychologie. Elle met en scène de façon insolite et dans un comique grinçant les traits humains les plus grotesques. Il est l'inventeur du terme de "Pataphysique", science qui cherche à théoriser la déconstruction du réel et sa reconstruction dans l'absurde. Il est l'un des inspirateurs des surréalistes et du théâtre contemporain.
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Ubu roi (1896), 128 p.
Jérôme (Klapka, dit) K. JEROME et l'humour dit "anglais"
Né en 1859 à Walsall, il meurt à Northampton. Fils d'un propriétaire de mine de charbon ruiné, il déteste l'école qu'il quitte à quatorze ans et exerce une succession de petits métiers. A partir de 1885, il publie de nombreux livres, pièces de théâtre et articles de journaux. En 1889, Trois hommes dans un bateau, descendu par la critique, marque le début d'un succès littéraire foudroyant et durable. D'un naturel triste et pessimiste, il pratique un humour souvent absurde, soulignant les incohérence du comportement humain et de la société dans son ensemble, et utilisant un ton faussement sérieux.
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Trois hommes en bateau (1889), 253 p. Trois hommes en balade (1900), 257 p.
Franz KAFKA, un homme de nulle part dans un monde étranger
Né à Prague en 1883, mort en 1924 à Vienne, Kafka est un écrivain de langue allemande. Dans son œuvre, il conçoit l'existence comme un combat perdu d'avance, à l'image de sa vie qu'il subit avec la tuberculose qui le ronge, un emploi de bureaucrate qui empêche l'épanouissement de son activité artistique, l'échec de ses cinq tentatives de mariage, l'inachèvement d'une grande partie de ses récits, et une œuvre qui ne lui survit que contre sa volonté expresse qu'elle soit détruite... Cette œuvre décrit des parcours dont on ne peut saisir ni l'origine, ni le but, dans des atmosphères oppressantes et des espaces labyrinthiques. Certains ont vu dans ces univers "kafkaïens" une prémonition des systèmes totalitaires qui, à partir des années 1930, allaient s'installer sur l'Europe centrale pendant un demi siècle. D'autres, plus surement, y voient l'aboutissement inéluctable du conflit qui l'opposa dès l'enfance à son père, et qui lui fut impossible de surmonter.
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Dans la colonie pénitenciaire (1919), 37 p. Lettre au père (1919), 57 p.
Rudyard KIPLING, chantre de l'Empire britannique
Né en 1865 à Bombay, il meurt à Londres en 1936. Issu d'un milieu anglo-indien très cultivé, il est envoyé à sept ans dans la métropole pour y recevoir une éducation anglaise. Il dédaigne l'université pour revenir comme journaliste en Inde, et publie quelques œuvres satiriques qui lui valent une renommée immédiate. Il voyage en Chine, au Japon, en Australie, en Amérique, pour s'installer enfin en Angleterre où il poursuit l'écriture d'une œuvre abondante. Il y magnifie les valeurs de la nature sauvage, de l'énergie, du désintéressement, et les valeurs exaltantes de l'aventure impérialiste, en l'occurrence, britannique.
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Trois troupiers (1888), 127 p. la Lumière qui s'éteint (1891), 305 p. le Livre de la jungle (1894), 200 p. le Second livre de la jungle (1895), 250 p. Capitaine courageux (1897), 241 p. Kim (1901), 446 p. Plus belles histoires du monde (la Plus belle histoire du monde, 44 p. les Perturbateurs de trafic, 20 p. la Légion perdue, 17 p. Par dessus bord, 12 p. Dans le Rukh, 40 p. Un congrès des puissances, 20 p. Un fait, 20 p. Amour des femmes, 34 p.), (1893), les Bâtisseurs de ponts (les Bâtisseurs de ponts, 46 p. Petit Tobrah, 5 p. Namgay Doola, 16 p. En famine, 50 p. Au fond de l'impasse, 32 p. les Finances des dieux, 7 p. la Cité des songes, 40 p.), (1902), Histoires comme ça (Comment... la Baleine acquit son gosier, 5 p. ...le Chameau acquit sa bosse, 5 p. ...le Rhinocéros acquit sa peau, 3 p. ...le Léopard acquit ses taches, 9 p. ...naquit la première lettre, 12 p. ...l'alphabet fut fait, 16 p. l'Enfant Éléphant, 11 p. la Rengaine du père Kangourou, 6 p. la Naissance des Tatous, 11 p. le Crabe qui jouait avec la mer, 14 p. le Chat qui allait son chemin tout seul, 15 p. le Papillon qui tapait du pied, 14 p.), (1902).
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