Ivan Tourgueniev
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...le plus "occidental" des grands romanciers réalistes russes
(rappel) Né à Orel en 1818, il meurt en 1883 à Bougival. Fuyant l'autoritarisme maternel, il part faire des études à Moscou, à Saint-Pétersbourg puis à Berlin, où il subit l'influence de Hégel. De retour en Russie, il devient fonctionnaire. Il se fait remarquer par son premier recueil de nouvelles, Andreï Kolossov (1844). Bientôt, il se consacre complètement au métier d'écrivain, mais ses démêlés avec la censure impériale lui font quitter la Russie pour l'Allemagne et la France. Il passe de la nouvelle au roman, puis, avec succès, au théâtre. Les Récits d'un chasseur resteront célèbres comme témoignage sur le servage russe. Mais les critiques faites à ses romans suivants l'éloignent de ses préoccupations sociales et politiques premières, et l'amène à aller vivre l'essentiel de son temps en France où il fait connaître la littérature russe.
A l'exclusion des œuvres théâtrales, voici la plupart de ses nouvelles et de ses romans (selon les traductions, les titres des unes et des autres peuvent être sensiblement différents).
Nouvelles et recueils de nouvelles
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Journal d'un homme de trop (1850), 184 p.
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Mémoires / Récits d'un chasseur (1852/1874) 253 p.
- Khor et Kalinich
- Ermolaï et la meunière
- l'Eau et la framboise
- le Médecin du district
- Mon voisin Radilov
- l'Odnovorets Ovsianikov
- Lgov
- Biéjine Loug
- Kassian de la Krassivaïa Metcha
- le Bourmistre
- le Comptoir
- le Biriouk
- les Deux Pomiéstchiks
- Lébédiane -
Nouveaux récits d'un chasseur (xxxx), 286 p.
- Tatiana Borissovna et son neveu
- la Mort
- les Chanteurs
- Karataïev
- Un rendez-vous
- le Hamlet du district de Chtchigrov
- Tchertopkhanov et Nedopianskine
- la Fin de Tchernopkhanov
- les Reliques vivantes
- Ça fait du bruit
- la Forêt et la steppe -
Trois rencontres (1852), 38 p.
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Premier Amour (1863), 381 p.
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Fantômes (1863), 61 p.
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Toc... Toc... Toc ! (1870), 53 p.
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Assez (1865), 25 p.
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Scènes de la vie rustique (1854/1870), 247 p.
- l'Auberge de grand chemin
- le Roi Lear des steppes -
le Gentilhomme des steppes (xxxx), 85 p.
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Un rève (1877), 36 p.
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le Chant de l'amour triomphant (1881), 38 p.
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Poèmes en prose (1882), 13 p.
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Claire Militch (1883), 146 p.
Romans
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Dimitri Roudine (1856) 254 p.
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Un Bulgare - A la veille (1860), 356 p.
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Pères et fils (1862), 324 p.
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Fumée (1867), 268 p.
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les Eaux printanières (1871), 362 p.
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Terres vierges (1872), 352 p.
Théâtre
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le Pain d'autrui (1848), 68 p.
Correspondance
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