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Eugène LABICHE, maître du vaudeville
Né en 1815 à Paris dans une famille bourgeoise aisée, il y meurt en 1888. En 1834, au retour d'un long voyage en Italie, il entame des études en droit tout en se lançant dans l'écriture, et il crée une association en vue d'écrire des pièces de théâtre. Suite à la réussite de l'entreprise, il écrira de 1837 à 1877, le plus souvent en collaboration,174 pièces. Ses personnages, bourgeois bien portants et bien nantis, immunisés contre le ridicule, d'une prudence sans panache et d'une philosophie terre à terre, s'y débattent en suivant les règles du vaudeville. Parmi les plus célèbres : Un Chapeau de paille d'Italie, le Voyage de monsieur Perrichon, la Cagnotte ( video (ouvrir - fermer) , 2' 37").
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Accès au "Théâtre complet d'Eugène Labiche" (1878), qui, en dépit de son nom, ne comprend que 57 de ses 174 pièces (6 autres œuvres ont été rajoutées ici).
Jean de La BRUYÈRE, moraliste et homme des "Caractères"
Né à Paris en 1645, il meurt en 1696 à Versailles. Sa charge d'avocat lui laisse indépendance et loisirs. En 1684, il devient précepteur de Louis de Bourbon, petit-fils du Grand Condé. Outre celle de la société parisienne, la fréquentation de la petite cour de Chantilly lui inspire l'idée de composer une série de portraits, origine de l'ouvrage "les Caractères de Théophraste traduits du grec, avec les caractères et les mœurs du siècle". Le succès de l'ouvrage, où les lecteurs cherchent les "clés" des portraits, incite l'auteur à enrichir son œuvre de chapitres nouveaux, reléguant la traduction de Théophraste à la fin des éditions suivantes..
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les Caractères (1688), 419 p.
Pierre Choderlos de LACLOS, militaire et écrivain
Né en 1741 à Amiens, il meurt à Tarente en 1803. Il est d'abord un militaire, mais qui ne participera à des guerres que sur le tard. Déçu par la vie atone qu'il mène, il se tourne vers l'écriture. En 1782 il fait paraître les Liaisons dangereuses (ouvrir - fermer) (vidéo, 3' 49") dont la vie sulfureuse des héros est l'antithèse de celle de leur auteur. Ce roman épistolaire aura une influence considérable sur la littérature romanesque des siècles suivants. Par la suite la Révolution redonne de l'activité à Laclos, ainsi il réorganise l'artillerie, son arme (en 1795, il inventera l'obus). Mais arrêté comme suspect, il devra attendre la chute de Robespierre pour être libéré. Il se rallie alors aux idées de Bonaparte et prend ensuite du commandement militaire en Italie où il meurt.
Marie-Madeleine Pioche de la Vergne de LA FAYETTE (Madame...)
Marie-Madeleine Pioche de La Vergne nait à Paris en 1634, elle y mourra en 1693. En 1655, elle devient par mariage Madame de La Fayette. Dame d'honneur de la reine Anne d'Autriche depuis 1650, elle sera proche de la Cour. Introduite dans les salons littéraires en vogue, elle y fréquentera les grands esprits du temps : le Grand Arnaud, le cardinal de Retz, Henriette d'Angleterre, la marquise de Sévigné, Boileau, Racine... et le duc de La Rochefoucauld auquel elle sera liée par une profonde amitié; En 1678, elle fait paraître la Princesse de Clèves, qui passe pour un des prototype du roman d'analyse psychologique, et dont l'immense succès lui vaudra de passer à la postérité.
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la Princesse de Clèves (1678), 268 p.
Jean de La FONTAINE, bourgeoisement subversif
Né à Château-Thierry en 1621, il meurt en 1695 à Paris. Sa charge de "maître des Eaux et Forêts" lui laisse des loisirs, et il fait partie des protégés de Nicolas Fouquet, partageant la vie brillante de Vaux, jusqu'à la disgrâce du surintendant. Accueilli par la duchesse d'Orléans, il publie de 1665 à 1671 ses Contes et Nouvelles, en "vers irréguliers". Puis en 1668, en 1678 et en 1694, les douze livres des Fables, reprenant un genre qu'Ésope et Phèdre avaient exploité dans l'Antiquité. Elles rencontrèrent un public fervent, séduit par l'habileté et la virtuosité du poète et cette "ample comédie à cent actes divers" d'où se dégage une morale épicurienne fondée sur une vision pessimiste de la réalité. Ces œuvres seront éditées et rééditées et, en particulier pour les Fables, illustrées par de brillants dessinateurs (Fragonard en 1744, Granville en 1844, Doré en 1867...).
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Contes et Nouvelles (1665, 1666, 1671, 1671, 1674), 419 p.
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Fables : Livres 1 à 4 (1668), 185 p. Livres 5 à 8 (1668 et 1678), 212 p. Livres 9 à 12 (1679 et 1694), 218 p.
Alphonse de LAMARTINE, poète romantique
Né en 1790 à Macon, il meurt à Paris en 1869. Après un voyage en Italie, il fait partie brièvement des gardes du corps de Louis XVIII, puis mène une vie oisive tout en s'adonnant au jeu. En 1820, ses Méditations poétiques par leurs qualités de fluidité et d'effusion vague connaissent un immense succès, faisant de lui le poète romantique par excellence. Puis il publie dans la même veine de nouveaux recueils de poèmes ainsi que des livres d'histoire qui, à l'exception de l'Histoire des Girondins, n'ont pas laissé un grand souvenir. Il s'approche du monde politique, devient secrétaire d'ambassade, finit après 1830 par adhérer à la monarchie de Louis-Philippe, puis par dériver vers l'opposition. Cela lui vaut en 1848 d'être pendant quatre mois membre du gouvernement de la Seconde République. Après avoir dû quitter la politique il devient un opposant résolu de Napoléon III, jusqu'à ce qu'une dotation du Second Empire éteigne ses importances dettes.
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Méditations et Nouvelles Méditations poétiques (1820-1823), 545 p. Harmonies poétiques et religieuses (1830), 392 p. Voyage en Orient (1835), 473 p. Jocelyn (1836), 514 p. la Chute d'un Ange (1838), 701 p. Recueillements poétiques (1839), 427 p. Raphaël (1849), 213 p. Confidences et Nouvelles Confidences (1849-), 590 p.
LAZARILLO de TORMES, la naissance du genre picaresque
Considéré comme le premier roman picaresque, d'auteur inconnu, il a paru en 1554. C'est un récit sous la forme autobiographique qui dépeint le type de l'anti-héros sans idéal, animé du seul souci de vivre au jour le jour sans trop se préoccuper de la valeur morale des moyens dont il use. Il donne une vision amère et désenchantée de la vie en Espagne au siècle d'or. Ce genre, d'un réalisme parfois cruel mais pas dénué d'humour a inspiré de nombreux auteurs espagnol et a été imité à l'étranger.
Maurice LEBLANC et son gentleman-cambrioleur de fils
Né à Rouen en 1864, il meurt en 1941 à Perpignan. Auteur de nombreux romans psychologiques, il connait un succès considérable avec son premier roman d'aventures : Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur. Dans ce récit apparait le personnage séduisant autour duquel va s'organiser une cinquantaine de volumes. L'imagination extrême dans les situations, le sens du mystère et de la terreur, le caractère protéiforme du héros y sont soutenus par un style animé.
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Arsène Lupin gentleman-cambrioleur (1908), 381 p. Arsène Lupin contre Sherlock Holmes (1908), 428 p. l'Aiguille creuse (1909), 409 p. "813" (1910), 717 p. la Frontière (1911), 378 p. le Bouchon de cristal (1912), 483 p. les Confidences d'Arsène Lupin (1914), 400 p. l'Éclat d'obus (1915), 498 p. le Triangle d'or (1919), 594 p. l'Ile aux trente cercueils (1919), 578 p. les Dents du tigre (1920), 809 p. les Trois yeux (1920), 370 p. le Formidable événement (1921), 361 p. les Huits coups de l'horloge (1922), 410 p. le Cercle rouge (1922), 465 p. la Dent d'Hercule Petitgris (1924), 73 p. la Comtesse de Cagliostro (1924), 496 p. la Demoiselle aux yeux verts (1927), 419 p. l'Homme à la peau de bique (1927), 63 p. l'Agence Barnett et Cie (1928), 310 p. la Demeure mystérieuse (1928), 370 p. la Barre-y-va (1931), 330 p. la Femme aux deux sourires (1932), 401 p. De minuit à sept heures (1932), 356 p. Victor de la brigade mondaine (1934), 355 p. la Cagliostro se venge (1935), 351 p.
Jules LEGRAS, un passionné de Russie
("Voyages en Asie centrale et au Tibet", 1897-1898)
Né en 1867 à Passy (Yonne), il meurt à Dijon en 1939. Germaniste enseignant à l'université de Bordeaux, il se passionne pour la langue russe et pour tout ce qui concerne ce pays, jusqu'à en devenir un spécialiste. Envoyé en 1897-1898 en mission en Sibérie, il est amené à en rectifier l'objet pour s'intéresser au problème du peuplement de l'Asie russe. Il est ainsi conduit à visiter les franges septentrionales de l'Asie centrale, l'Altaï et le nord de la Mongolie, là où s'établissent les contacts entre les populations russes et asiatiques. D'une nature passionnée, alors qu'il ,est devenu une personnalité de l'université de Dijon, il s'engage malgré son âge en 1914, fait partie de la mission française sur le front russe, puis, après 1917, en Sibérie.
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En Sibérie (1899), 440 p.
Gaston LEROUX, de Rouletabille à Chéri-Bibi
Né à Paris en 1868, il meurt en 1927 à Nice. Il collabore à différents journaux où ses romans sont publiés en feuilletons, avant de mettre au point un personnage de détective amateur, Rouletabille, capable de dénouer les situations les plus mystérieuses, dans une série de roman où le goût de la mystification s'exprime par des substitutions et des transformations les plus abracadabrantes. Lui succède un évadé de Cayenne, Chéri-Bibi, hors la loi involontaire, accablé par la société, qui développe d'inquiétantes aventures. De nombreux autres romans s'ajoutèrent à ces deux cycles, et nombre d'entre eux furent portés à l'écran.
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les Aventures de Rouletabille : le Mystère de la chambre jaune (1907), 309 p. le Parfum de la dame en noir (1908), 322 p. Rouletabille chez le tzar (1913), 386 p. le Château noir (1914), 444 p. les Étranges noces de Rouletabille (1914), 345 p. Rouletabille chez Krupp (1917), 202 p. le Crime de Rouletabille (1921), 189 p. Rouletabille chez les Bohémiens (1922), 766 p.
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les Aventures de Chéri-Bibi (1913-1925) : les Cages flottantes, 273 p. Chéri-Bibi et Cécily, 327 p. Palas et Chéri-Bibi, 270 p. Fatalitas !, 280 p. le Coup d'État de Chéri-Bibi, 474 p.
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la Double vie de Théophraste Longuet (1903), 353 p. l'Homme qui a vu le diable (1908), 57 p. le Fauteuil hanté (1909), 215 p. le Fantôme de l'Opéra (1910), 413 p. Un Homme dans la nuit (1910), 500 p. la Reine de Sabbat (1911), 797 p. Balaoo (1911), 387 p. l'Epouse du soleil (1913), 317 p. l'Homme qui revient de loin (1917), 253 p. le Capitaine Hyx (1917), 310 p. la Bataille invisible (1917), 330 p. le Cœur cambriolé (1920), 116 p. la Poupée sanglante (1923), 249 p. la Machine à assassiner (1923), 254 p. les Ténébreuses (1924), t.1, 528 p. t.2, 526 p. Quelques Nouvelles terrifiantes (le Dîner des bustes, la Hache d'or, l'Auberge épouvantable, le Noël du petit Vincent-Vincent, Not'Olympe, la Femme au collier de velours,1924), 223 p. le Fils de trois pères (1925), 444 p. la Fin d'un monde (1925), 348 p. Du sang sur la Neva (1925), 339 p. les Mohicans de Babel (1926), 333 p. le Fils de 3 pères (1926), 401 p. Mister Flow (1927), 433 p.
Jacques (Bouly) de LESDAIN, voyageur puis collaborationniste
("Voyages en Asie centrale et au Tibet", 1904-1905)
Né à Dunkerque en 1880, il meurt près de Cologne vers 1975. Docteur en droit et doué pour les langues, il entre dans la diplomatie et se retrouve à Pékin peu de temps après le siège du quartier des légations (1900). En 1903, il voyage en Mongolie. En 1904-1905, il succombe aux charmes d'une jeune anglaise qu'il épouse, et parcourt avec elle la Mongolie, le Tibet et arrive aux Indes. Il séjourne par la suite dans de nombreux pays, tout en changeant d'épouses. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est dès 1939 un collaborationniste avant la lettre. Directeur politique de l'Illustration, collaborateur à de nombreuses revue pro-allemandes... il est à Sigmaringen en 1945, puis s'évanouit dans la nature. Condamné à mort par contumace, il est bizarrement employé par l'ambassade de France à Rome de 1951 à 1958, puis se retire paisiblement en Allemagne après 1968.
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Voyage au Thibet par la Mongolie : de Pékin aux Indes (1908), 350 p.
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From Pekin to Sikkim through the Ordos, the Gobi Desert and Tibet (1908), 300 p.
Félix LOPE de VEGA, créateur de la comedia nueva
Né à Madrid en 1562, il y meurt en 1635. Son existence sera pleine d'aventures, ainsi sa survie au naufrage de son navire lors de la débâcle de l'Invincible Armada. Sa vie sentimentale particulièrement active lui apportera une progéniture abondante et diverse (cependant, en 1614, une crise existentielle l'amènera à entrer dans les ordres). Ce sera une des raisons de sa nécessaire extraordinaire fécondité littéraire avec, entre autres, 2200 œuvres théâtrales. Une autre raison, son exceptionnelle précocité : dès l'âge de onze ans il écrit ses premières comédies, puis des pièces de circonstance pour des compagnies itinérantes... Déjà s'y trouvent les traits majeurs qui caractériseront ses grandes œuvres : génie de l'action, science du mouvement scénique, curiosité passionnée pour l'humain. Indifférent à toute idéologie, il est avant tout attentif au seul divertissement des spectateurs, et reconnait dans l'honneur et l'amour les seuls ressorts de l'émotion dramatique. Son influence s'étendra au delà des mers et des frontières. En France elle marquera de nombreux écrivains, parmi lesquels Corneille et Molière.
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Nouvel art dramatique (1609), 14 p. le Moulin, 74 p. le Chien du jardinier (1618), 81 p. le Meilleur alcade est le roi (1635), 61 p. la Découverte du Nouveau Monde par Christophe Colomb, 66 p. l'Enlèvement d'Hélène, 8 p. l'Hameçon de Phénice (1617), 86 p. Fontovéjune (1618), 66 p. les Travaux de Jacob, 51 p. la Belle aux yeux d'or, 72 p. Aimer sans savoir qui, 74 p. les Caprices de Bélise, 86 p. l'Eau ferrée de Madrid, 80 p. le Certain pour l'incertain, 72 p. la Demoiselle servante, 66 p. la Fausse ingénue, 63 p. l'Etoile de Séville (1617), 58 p. Amour et Honneur, 74 p. le Cavalier d'Olmédo (1641), 64 p. le Mariage dans la mort, 58 p. le Châtiment sans vengeance (1631), 62 p. Mudarra le batard, 67 p.
Pierre LOTI (Louis-Marie Julien VIAUD, dit...)
Né en 1850 à Rochefort, il meurt à Hendaye en 1823. En 1867, il entre à l'École Navale, à Brest. Embarqué sur différents navires de la Marine nationale, li navigue pendant quarante-deux ans sur toutes les mers du monde. Ses romans, souvent autobiographiques et imprégnés de ses souvenirs d'escales ou de séjours outre-mer, sont écrits dans un style impressionniste et baignés dans une atmosphère de désenchantement.
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Aziyadé (1879), 317 p. le Roman d'un spahi (1881), 360 p. le Mariage de Loti (1882), 313 p. Mon frère Yves (1883), 423 p. Pêcheur d'Islande (1886), 344 p. Madame Chrysanthème (1887), 305 p. Propos d'exil (1887), 325 p. le Roman d'un enfant (1890), 314 p. Fleurs d'ennui (1882), 178 p. Pasquala Ivanovitch (1882), 66 p. Japoneries d'automne (1889), 357 p. Au Maroc (1890), 358 p. Voyage au Monténégro (1891), 54 p. Suleïma (1891), 79 p. le Livre de la pitié et de la mort (1891), 320 p. Fantôme d'Orient (1892), 234 p. Matelot (1893), 241 p. l'Exilée (1893), 271 p. le Désert (1894), 258 p. la Galilée (1894), 249 p. Jérusalem (1896), 221 p. Ramuntcho (1897), 351 p. Figures et choses qui passaient (1897), 333 p. Judith Renaudin (1898), 100 p. Reflets sur la sombre route (1899), 355 p. l'Inde sans les Anglais (1903), 456 p. la Troisième jeunesse de Madame Prune (1905), 327 p. les Désenchantées (1906), 435 p. Prime jeunesse (1908), 268 p. la Mort de Philæ (1909), 357 p. Un Pèlerin d'Angkor (1912), 234 p. la Turquie agonisante (1913), 283 p. la Hyène enragée (1916), 296 p. l'Outrage des Barbares (1917), 37 p. les Alliés qu'il nous faudrait (1919), 130 p. la Mort de notre chère France en Orient (1920), 295 p.
Howard LOVECRAFT : fantastique et épouvante
Né en 1890 à Providence, il y meurt en 1937. Passant la plus grande partie de son existence dans sa ville natale, il y vit de petits travaux d'édition et du produit de sa plume, à savoir quelques poèmes et essais, et une soixantaine de récits fantastiques. Il y crée un univers récurrent issu de rêves et de cauchemars, se déroulant à son époque et dans sa région, dans les ville et université imaginaires d'Arkham et de Miskatonic. Des puissances monstrueuses et extra-terrestres mettent en cause le destin de l'humanité, ce qui n'est pas sans référence avec le Nécronomicon, livre maudit, véritable encyclopédie du mal rédigée par "l'Arabe dément Abdul Alhazred". Bref on y baigne dans le fantastique, l'horreur et l'épouvante... Ce n'est - malheureusement pour lui - qu'après sa mort que son œuvre connut le succès.
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l'Indicible (1923), 15 p. le Monstre sur le seuil (1923), 44 p. Air froid (1926), 15 p. l'Affaire Charles Dexter Ward (1927), 135 p. Fungi from Yuggoth (1930), 43 p. le Cauchemar d'Innsmouth (1931), 92 p. la Maison de la sorcière (1932), 49 p. Dans l'abîme du temps (1934), 100 p. Celui qui hantait les ténèbres (1935), 28 p. les Montagnes hallucinées (1936), 144 p. la Quête onirique de Kadath l'inconnue (1939), 135 p.
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